Não tenho o dom da poesia, é fato.
Que diriam os grandes poetas ao me verem ridiculamente juntar palavras sem sentido em versinhos vazios?
Que posso eu fazer se o dom da rima de mim faz desvios?
Não sei de métrica,
Nem me acompanha o refinamento daquele que possui a vocação das redondilhas e dos sonetos.
Portanto, proseio
Aquilo que em versos não canto.
Pior seria se as palavras
Eu deixasse perder o encanto.
"A quoi ça sert l'amour ?
On raconte toujours
Des histoires insensées.
A quoi ça sert d'aimer ?
L'amour ne s'explique pas !
C'est une chose comme ça,
Qui vient on ne sait d'où
Et vous prend tout à coup.
Moi, j'ai entendu dire
Que l'amour fait souffrir,
Que l'amour fait pleurer.
A quoi ça sert d'aimer ?
L'amour ça sert à quoi ?
A nous donner d' la joie
Avec des larmes aux yeux...
C'est triste et merveilleux !
Pourtant on dit souvent
Que l'amour est décevant,
Qu'il y en a un sur deux
Qui n'est jamais heureux...
Même quand on l'a perdu,
L'amour qu'on a connu
Vous laisse un goùt de miel.
L'amour c'est éternel !
Tout ça, c'est très joli,
Mais quand tout est fini,
Il ne vous reste rien
Qu'un immense chagrin...
Tout ce qui maintenant
Te semble déchirant,
Demain, sera pour toi
Un souvenir de joie !
En somme, si j'ai compris,
Sans amour dans la vie,
Sans ses joies, ses chagrins,
On a vécu pour rien ?
Mais oui ! Regarde-moi !
A chaque fois j'y crois
Et j'y croirai toujours...
Ça sert à ça, l'amour !
Mais toi, t'es le dernier,
Mais toi, t'es le premier !
Avant toi, 'y avait rien,
Avec toi je suis bien !
C'est toi que je voulais,
C'est toi qu'il me fallait !
Toi qui j'aimerai toujours...
Ça sert à ça, l'amour !..."
Pour Edith Piaf...
Tiens... elle est génial!
Les hommes ont oublié cette vérité, dit le renard. Mais tu ne dois pas l'oublier. Tu deviens responsable pour toujours de ce que tu as apprivoisé. Tu es responsable de ta rose...
Postado por
Taiane Maria Bonita
17:30
Liberdade?
Tão presos à carne,
Tão presos ao osso,
Do que servem
Juntas e articulações?
Eu os fitava
Tão alheia e tão envolta,
Sugando as forças
De minhas veias e artérias.
Saudade,
Que invade meu peito
E pulsa.
Tão óbvio,
Tão natural,
Tão estúpido.
De que serve a carne?
De que serve o osso?
Se só se é liberto na luz?
Desfecho de tudo,
Princípio de tudo.
Luz,
Que envolve,
E acalenta.
Que conforta,
E transcende.
Deixar a carne,
Procurar pela luz.
Liberta-te do vão.
Teu brilho está em mim,
Meu amor vai contigo.
Os laços,
Singelos,
Verdadeiros,
São os laços que ficam.
Não a carne,
Nem o osso.
Para LMN, com todo amor e saudades.
Postado por
Taiane Maria Bonita
17:02
O que vou fazer com ele?
Bem... isso é outros quinhentos, o que interessa nesse momento é que está no ar.
E fica feio a existência de um blog sem postagens, logo minha cabeça desprovidas de coisas melhores para fazer no momento botou a ciência da encheção de lingüiça para funcionar, e eis aqui uma postagem...
Fin... sem mais!
